Ici quelqu'un des messages que vous nous avez envoyés:
Christophe Zava - France: J'ai vécu pendant 5 ans dans la province de Treviso,
aujourd'hui j'ai 25 ans, en ce temps là j'étais trop jeune pour boire la
bière Pedavena (j'ai vécu là bas entre 5 et 10 ans).
Mais j'ai une dent contre Heineken. Ces derniers, outre le fait de fermer la Pedavena, ont
également fait des dégâts en France, dans le nord-est où je vis, en fermant en 1987,
la brasserie Basse Yutz. Ils n'ont pas seulement envoyé des personnes au chômage, ils ont
également retiré une identité à une région et effacé pour toujours
un patrimoine. Je pense que les élus devraient retrousser un jour leurs manches de chemise, se rappeler
pourquoi ils sont élus (non pas pour se servir de la République pour leurs propres affaires, le
peuple n'est pas là pour les servir, mais eux sont élus pour servir le peuple.) et chasser ces
conglomérats qui ne veulent que le gain à la place de l'orgueil des brasseurs et de qui boit la
bière Pedavena.
En d'autres termes, la communauté doit prendre en possession l'entreprise et se reprendre en main
pour eux-mêmes, pour leurs fils et pour leur identité.
Au Luxembourg, les personnes sont orgueilleuses de leurs brasseries (Bofferding, Battin, Moussel, Simon Pils,
Dieckirch, Henri Funck) et aucun café ni taverne ne vendent d'autres marques étrangères.
Au supermarché, des rayons longs comme ceux des eaux minérales italiennes, sont remplis de canettes
luxembourgeoises. Les buveurs de bière n'achètent d'ailleurs que des bières
luxembourgeoises, et ne vont certainement pas boire des bières constituées d'eau de parfum et
d'anhydride carbonique, le tout pasteurisé.
De ce fait, les brasseries se portent bien, exportent quelque peu et en aucun cas n'ont l'intention de
s'allier avec des conglomérats pour une quelconque distribution étrangère.
Bonne chance.en espérant avoir bientôt des nouvelles réjouissantes.
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